Entre ciel et terre, entre l’obscur et l’intelligible, l’homme funambule avance dans la vie, léger, fluide, aérien. C’est là pour moi l’interprétation d’un idéal, qui consisterait à traverser les jours, les joies et les épreuves, sans s’appesantir, sans rester focalisé sur des détails. Évoluer avec la grâce d’un danseur.
La vie est mouvement, rivière qui nous emporte. Garder l’équilibre, mais ne pas chercher à résister à ce flux, et même y prendre goût, accompagner le courant. Devenir aile, plume, retrouver ses aptitudes d’enfant et user de cette capacité innée à s’envoler loin de l’endroit où tant de rêves meurent…
Il y a souvent une petite touche japonisante chez toi. Ta part de rêve ? 😉
Oui, c’est vrai, maintenant que tu me le dis, je le remarque aussi! 😉
Le funambule veut il attraper le papillon ou le ballon ?
Ou la Lune? 😊
Que d’idées !
@ Gambadou : bon, là, je fatigue un peu, je dois bien l’avouer. Besoin de vacances… Je pensais pouvoir tenir le rythme chaque semaine, mais force est de constater qu’il me faut un peu plus de temps. Merci de ton passage!